Ce mercredi 28 septembre 2016, Cécile Duflot est venue apporter son soutien lors de sa rencontre avec les riverains et les élus locaux de la distillerie Douence de Saint-Genès-de-Lombaud.
Cet établissement fut soumis à enquête publique suite à l'annulation de son autorisation d'exploiter. Pourtant communes voisines, commissaire enquêteur avaient rendu un avis négatif en juillet.
Et toujours pas d'étude épidémiologique !
Un dossier fumeux qui a 40 ans d'existence !
Sébastien Dos Santos
Jean Leblanc
Marine Schenegg
Nathalie Aubin
Riverains et élu-es prennent la parole
Cécile Duflot
Photographie souvenir
Le ruisseau du Lubert, mitoyen de la distillerie Douence
Pour en savoir plus :
http://www.sudouest.fr/2016/09/29/cecile-duflot-au-secours-des-elus-et-riverains-2517312-3228.php
http://www.sudouest.fr/2016/07/21/distillerie-douence-mise-aux-normes-demandee-2441952-3228.php
http://www.cahiers-entre-deux-mers.fr/2016/06/en-ligne-de-mire-la-distillerie-douence-ou/
http://www.sudouest.fr/2016/06/08/distillerie-toujours-autant-de-questions-2392005-3228.php
http://www.lerepublicain.net/distillerie-douence-reunion-d-information-le-3-juin_53353/
http://www.sudouest.fr/2016/05/28/la-distillerie-inquiete-toujours-les-habitants-2378999-3228.php
http://www.mairie.haux33.fr/distillerie-enquete-publique/
Distillerie Douence : "Elle est aujourd'hui l'outil environnemental de la viticulture de pointe en matière technologique et écologique."
Anne-Laure Fabre-Nadler
"Grosse mobilisation des élus locaux et des riverains de la distillerie de Saint-Genès-de-Lombaud autour de la venue de Cécile Duflot, venue écouter l'inquiétude, le ras-le-bol face à une situation ubuesque : comment expliquer une industrie qui fonctionne encore après de multiples condamnations et mises en demeure pour pollutions, conflits d'intérêt... ?
La localisation de cette distillerie est problématique : dans une vallée encaissée, une zone naturelle d'intérêt environnemental floristique et faunistique, près d'un ruisseau au débit insuffisant pour absorber les rejets, une zone qui s'est depuis peuplée (3 écoles, 1 crèche, de plus en plus d'habitations).
Alors même que les rapports de 1975 et 1985 pointaient déjà qu'aucune extension de la production ne serait souhaitable, elle est passée de 2500 hectolitres par an à 80 000. Tout cela, toute cette inaction qui finit par passer pour de la complaisance, doit cesser. C'est ce message que cette mobilisation chercher à passer : c'est ce combat qu'il faut mener. Je promets mon soutien à ces riverains inquiets, je mets mon statut d'élue à leur disposition pour les aider."